La plus importante, encore active aujourd'hui, est la Fédération des expulsés (allemand : Bund der Vertriebenen (BdV)). À la suite de l'occupation de la Pologne, le reichsgau de Prusse-Orientale acquit des territoires purement polonais jusqu'à Varsovie. 512 Flugzeuge heben innerhalb der nächsten 75 Minuten nach und nach von mehreren britischen Flugplätzen nördlich von London mit dem Ziel Potsdam ab – davon haben 490, zumeist schwer beladende Lancaster-Bomber, ihr Ziel - die herrliche Residenzstadt Potsdam. La propagande nazie contre la Tchécoslovaquie et la Pologne prétendait que les Allemands (Volksdeutsche) de ces territoires étaient persécutés. Expelling the Germans: British Opinion and Post-1945 Population Transfer in Context, Matthew Frank Oxford University Press, 2008. München : Piper, 1976 Ekn 5 Car Carr, J. Revell: 13 Millionen Tonnen, 2500 Schiffe, 50000 Leben. Grâce à cet afflux de réfugiés (Heimatvertriebene en allemand), la population au sein de l'Allemagne avait augmenté d'environ 16 %, soit 12,5 millions de personnes[105]. Leurs demandes, parfois controversées, furent intégrés au débat public. Vertreibungsverluste », New historical research opens a black chapter in the history of Danish conduct during World War II, Cf. À Hambourg par exemple, la surface de logement disponible par personne déjà réduite par les bombardements aériens de 13,6 m2 en 1939 à 8,3 m2 en 1945 fut encore réduite à 5,4 m2 du fait de l'arrivée massive de réfugiés[120]. Je ne m'inquiète pas pour ces transferts qui sont parfaitement possibles dans les conditions actuelles »[39]. La Prusse-Orientale était un territoire allemand séparé du reste de l'Allemagne par le corridor de Dantzig dont la population avait choisi à une écrasante majorité de rester sous contrôle allemand et non polonais. ), Winston Churchill puis Clement Attlee (Royaume-Uni), Harry Truman (États-Unis). Apr 1, 2014 - Rare pictures from the Battle of Berlin in April 1945. Jusqu’au printemps 1945, près d’un million de soldats de la Wehrmacht ou des Waffen-SS furent capturés par les Anglais ou les Américains, pour la plupart envoyés dans des camps de prisonniers ordinaires. Cette liste ne couvre que les unités de la Wehrmacht ayant combattu sur terre de 1939 à 1945.Cette liste n'est pas exhaustive [1].Elle comprend de plus, de façon exceptionnelle, des unités d'échelons inférieurs (brigades, régiments, voire bataillons) ayant marqué l'histoire de la Heer durant la Seconde Guerre mondiale Les territoires que les Allemands quittèrent furent graduellement repeuplés par les populations des nouveaux États dont beaucoup avaient été expulsés de territoires plus à l'est. Les 400 000 Allemands de la Volga[87] et environ 80 000 autres[87] de zones différentes furent transférés en Sibérie, au Kirghizistan et au Kazakhstan où ils durent rester après la guerre[50],[87]. Constantin Daicoviciu, Alex. En contradiction avec les accords de Potsdam, les Soviétiques ne fournirent que peu de ravitaillement aux expulsés. L'évacuation de la Poméranie, également retardée, fut compliquée par l'afflux massif des réfugiés de Prusse-Orientale. L'offensive débute le 24 février avec l'utilisation de la fraîche 19e armée soviétique de Dmitri Kozlov. La 94. Lorsque l'Armée rouge s'empara de ces zones en 1945, 200 000 Allemands de Russie n'avaient pas encore été évacués par les autorités allemandes toujours occupées par leurs « évaluations raciales »[91]. À partir des années 1960, cette opposition s'adoucit en particulier au sein du SPD et du FDP. Beim Luftangriff auf Potsdam am 14. Bien que les relations entre la Pologne et l'Allemagne soient cordiales depuis 1991, le souvenir de la guerre, des expulsions de Polonais par les nazis et d'Allemands par la Pologne devenue communiste, reste présent. Il n'y a aucune tension entre les deux pays concernant les expulsés[68]. They agree that any transfers that take place should be effected in an orderly and humane manner. Les déclarations alliées de Berlin sont un ensemble de quatre documents publiés à Berlin le 5 juin 1945, par lesquels les quatre puissances alliées, vainqueurs du Troisième Reich, définissent le régime d'occupation auquel l'Allemagne est soumise. Texte Original : « purpose of this article was not to encourage or legalize the expulsions, but rather to provide a basis for approaching the expelling states and requesting them to co-ordinate transfers with the Occupying Powers in Germany. Hitler hatte ihren Rückzug verboten. Cette planification opérationnelle ne tient pas compte de la réalité de la résistance allemande, très forte et du réseau routier de mauvaise qualité[9]. Le nombre de morts varie selon les sources de 5 300[23] à 7 000[22],[24] ou 7 400 voire 9 400[25]. Le conflit, principalement européen à l’origine, s’élargit à l’échelle mondiale avec l’intervention japonaise contre Pearl Harbor et l’entrée en guerre des Etats-Unis. Bernard Wasserstein, European Refugee Movements After World War Two. Retrouvez [Hitler's Wehrmacht, 1935--1945] [By: Muller, Research Institute of Military History Potsdam Rolf-Dieter] [July, 2016] et des millions de livres … XXIV. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’offensive de Poméranie orientale (en russe : Восточно-Померанская наступательная операция) désigne une offensive de l'Armée rouge qui eut lieu du 10 février au 4 avril 1945 contre la Wehrmacht en Poméranie et en Prusse-Occidentale sur le Front de l'Est lors de la Seconde Guerre mondiale. Elles avaient également violé les principes de Nuremberg. Noté /5. Il reste environ 40 000 Allemands en Tchéquie. Environ 3 millions d'Allemands restèrent dans les zones d'expulsions mais beaucoup émigrèrent pendant la guerre froide[103]. Axel Schildt, Deutsche Geschichte im 20. Le président roumain élu en 2014, Klaus Iohannis, est issu de cette communauté qui se compose de germanophones Banatéens, Bucoviniens, de Landlers et surtout de Saxons transylvains. Le Front de libération du peuple slovène expulsa la plupart des Allemands après la prise de contrôle de la région. La région de Königsberg fut annexée par l'Union soviétique et rattachée à la RSFS de Russie. Cependant, pour des raisons de sécurité, les territoires frontaliers furent expropriés et les soldats tchèques furent stationnés dans des zones uniquement habitées par des Sudètes. Cependant entre juin 1945 et 1947, environ 500 000 Allemands furent expulsés[93]. 09.12.2016 - Entdecke die Pinnwand „Berlin 1945“ von Robert Einhaus. En 1950, l'Allemagne comptait 68 377 000 habitants, chiffre quasiment équivalent à celui de 1939, pour un territoire qui s'était réduit par rapport à ses limites d'avant-guerre. Cependant, ces transferts n'étaient pas suffisants pour apaiser les nazis. Manfred Görtemaker, Geschichte der Bundesrepublik Deutschland: Von der Gründung bis zur Gegenwart, C.H.Beck, 1999. L'impact psychologique et social fut tellement immense que même aujourd'hui, les expulsions sont entrées dans le vocabulaire allemand simplement comme « la Fuite » ou « l'Expulsion » sans avoir besoin d'autres précisions, tout comme la référence à la Seconde Guerre mondiale est simplement « la Guerre ». ». 1:44:05. Il inclut les pertes dues aux travaux forcés en Union soviétique et les 310 000 Allemands-soviétiques non inclus dans le rapport de 1958. Véritable succès, cette offensive s'achève par la conquête de Dantzig le 31 mars au milieu de la débandade de milliers de civils allemands[15]. 25.– 31.1.1945; schwere Kreuzer gegen Panzer La dernière modification de cette page a été faite le 19 janvier 2021 à 17:19. … Initialement, le Gauleiter de Prusse-Orientale, Erich Koch refusa l'évacuation de civils (jusqu'au 20 janvier 1945) et ordonna l'exécution de tous ceux qui voulait fuir sans autorisation. Ces déplacements touchèrent entre 12 et 16 millions de personnes. Des politiciens polonais ont affirmé que seule une réponse sous la forme de revendications de réparations par la Pologne pourrait supprimer les efforts de certains citoyens allemands et de leurs défenseurs politiques qui tentent de réclamer une indemnité de la part de citoyens polonais dans les procédures civiles. Operation Plunder (Überquerung des Rheins zwischen Emmerich und Wesel) Operation Varsity; Operation Archway; Operation Flashpoint; Schlacht um Crailsheim (5.–21. La route terrestre vers Pillau fut une nouvelle fois endommagée et de nombreux civils furent tués. Les premiers ordres concernaient les personnes âgées, les femmes et les enfants de Haute-Silésie. Ils s'accordent sur le fait que ces transferts devront se faire de manière ordonnée et humaine[42],[43]. Le nombre exact d'Allemands expulsés après la guerre est encore inconnu, de même que le nombre de morts dues à ces expulsions. Par la suite, le président allemand Richard von Weizsäcker s'excusa auprès de la Tchécoslovaquie durant sa visite à Prague en mars 1990, après que Václav Havel eut répété ses excuses en déclarant que les expulsions furent les « erreurs et les péchés de nos pères ». En 1926, le chancelier allemand Gustav Stresemann conseilla aux Sudètes de coopérer avec le gouvernement de Prague. Plusieurs centaines de navires de toutes tailles furent utilisés dont les plus grandes unités navales de la Kriegsmarine[21]. À partir du XVIe siècle, la Poméranie, la Prusse, la région des Sudètes, la Transylvanie, la Bessarabie, la Galicie, le Sud-Tyrol, la Carniole et la Basse-Styrie possédaient de nombreuses villes et villages à majorité allemande. Les Allemands monterons à cet effet l' opération Freischütz IV également appelée opération Scherhorn . Beaucoup commirent des atrocités dont des viols et des meurtres et ne faisaient pas toujours la distinction entre les Allemands et les Polonais, les maltraitant de la même façon[82]. Selon lui, si les expulsions furent interdites par Nuremberg, elles furent utilisées par les mêmes puissances comme une « mesure de temps de paix »[167]. Dans cette panique, beaucoup d'Allemands choisirent le suicide, comme les 900 civils de la ville poméranienne de Demmin[8] (sur une population de 16 000 à 17 000 habitants). Si les expulsions de Tchécoslovaquie ralentirent, ce ne fut pas le cas pour la Pologne et les anciens territoires allemands[44]. Ukrainischen Front, die den Raum Potsdam-Rathenow-Brandenburg erreicht hatte, so daß die operative Einschließung der gesamten Berliner Gruppierung vollendet wurde. Pour les Polonais, les expulsions des Allemands étaient vues comme un moyen d'éviter que de tels événements ne se reproduisent dans le futur et les autorités polonaises en exil proposèrent le transfert des Allemands dès 1941[143]. Les expulsions ont également été provoquées par un désir de vengeance, étant donné la manière brutale dont les Allemands avaient traité les populations civiles durant la guerre[126],[132]. En mai 1945, seuls quelques Allemands restaient sur place principalement en Styrie. Après 1950, grâce à la loi sur les personnes déplacées de 1948, ils purent émigrer aux États-Unis. Le 14 février, le Steuben fut coulé par le même sous-marin alors qu'il quittait le port de Pillau. La propagande soviétique (Ilya Ehrenbourg) encourageait une attitude violente et vengeresse à l'encontre des Allemands du fait que le Front de l'Est avait causé la mort de plus de 26 millions de Soviétiques dont près de 15 millions étaient des civils victimes des crimes de guerre nazis en Union soviétique. Universitas München, 2001. En dépit des renseignements de Gehlen, le commandant des unités allemandes, Himmler, semble tétanisé, incapable de réagir, en dépit des avertissements et des propositions de ses officiers et de Guderian, chef de l'OKH : ils proposent en effet d'organiser la défense des bouches de l'Oder et la constitution d'un camp retranché autour de Dantzig et Gotenhafen, deux ports stratégiques pour la poche de Courlande et le front de Prusse[9]. Toutes les possessions allemandes furent confisquées. Ce mouvement de population commença au début de la Seconde Guerre mondiale dans le cadre du pacte germano-soviétique, mais s'amplifia surtout à sa fin. Cette situation changea lorsque la Charte du procès de Nuremberg contre les dirigeants nazis déclara que la déportation forcée de populations civiles était à la fois un crime de guerre et un crime contre l'humanité et cette opinion fut progressivement adoptée depuis. Bien que les statistiques officielles allemandes aient rapporté pendant des décennies le chiffre de 2,2 millions de morts liées aux expulsions, des études plus récentes ont ramené ce chiffre à un intervalle de 500 000 à 1,1 million de décès. Par conséquent, la plupart des partis acceptèrent de participer à la vie politique et ses représentants acceptèrent d'entrer au gouvernement. Cet événement qui, à quelques exceptions près (Saxons de Transylvanie) a mis fin à mille ans de colonisation allemande vers l'Est, reste encore mal connu y compris en Allemagne même, car les atrocités nazies et la Shoah ont longtemps occulté les souffrances des populations allemandes ; sur le plan diplomatique, il a longtemps « pollué » les relations entre l'Allemagne et ses voisins, jusqu'à ce que divers traités aient, après 1990, fini par en régler les séquelles. Création et différentes dénominations. Par exemple, Timothy V. Waters argumente dans De la construction légale du nettoyage ethnique que « si des circonstances similaires apparaissent dans le futur, le précédent des expulsions d'Allemands sans recours légal permettrait le nettoyage ethnique d'autres populations »[170]. La Pologne est sans doute le pays qui a le plus souffert de l'occupation allemande. Le siège de la ville est mené du 15 au 30 mars, date de la chute du dernier grand port allemand à l'Est de l'Oder[14]. Infanterie-Division (94.ID) (94 e Division d'Infanterie) est une des divisions d'infanterie de l'armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale. théorie défendant l'honorabilité de la Wehrmacht. Une proposition de politiques polonais selon laquelle l'Allemagne devrait plutôt construire un centre pour la mémoire de la souffrance de la nation polonaise, fut rejetée par les politiques allemands qui considéraient que ce sujet avait déjà été traité dans de nombreux centres et musées, contrairement aux expulsions d'Allemands[157]. Finalement, seuls 800 000 des 2 490 000 habitants d'avant-guerre restèrent en Prusse-Orientale[32]. Après la guerre, au début de la période communiste, il restait dans le pays 400 000 Allemands sur les 800 000 d'avant-guerre, disposant d'écoles, journaux et théâtres dans leur langue[85], contrôlés bien sûr par le PC mais autorisés à tisser des liens culturels avec l'Allemagne de l'Est. Am 19. Der Ruhrkessel: Ende der Kämpfe im Westen – Verbrechen der Wehrmacht, der SS und Gestapo an der Bevölkerung bis zum letzten Tag . Plusieurs cas de ce type furent étudiés par des tribunaux tchèques. Ukrainischen Front gelingt es, im Raum von Küstrin und Guben an der Oder die Verteidigungslinien der Wehrmacht zu durchbrechen und auf die deutsche Reichshauptstadt Berlin vorzustoßen. Potsdam 1945. En 1945, les anciens territoires allemands de l'est (la Silésie, la Poméranie, le Neumark et la Prusse-Orientale) ainsi que les territoires polonais annexés par l'Allemagne comme les Reichsgau Danzig-Westpreußen et Wartheland furent occupés par l'Armée rouge et l'armée polonaise. De la communauté allemande de Roumanie, forte de 750 000 personnes[3], émerge une filiale locale du parti nazi, menée par Andreas Schmidt[4], leader nazi (Volksgruppenführer) engagé dans la Waffen-SS, qui, après l'abdication du roi Carol II en octobre 1940, demande et obtient du « Pétain roumain » (comme s'auto-proclamait lui-même le maréchal Antonescu alors devenu chef d'État), que les Allemands de Roumanie deviennent ressortissants du Reich et ne soient pas mobilisés dans l'armée roumaine mais enrôlés dans la Wehrmacht qui venait d'occuper le pays. Nahezu zweihundertfünfzig sowjetische Divisionen sind zum Sturm auf das Deutsche Reich angetreten. Cambridge, Harvard University Press, 2001. Ce nombre atteignait 4,4 millions (24,2 % de la population) en Allemagne de l'Est[105],[107]. Les Polonais souhaitaient avant tout expulser ces populations pour créer une Pologne ethniquement homogène : « Nous devons expulser tous les Allemands car les nations sont construites sur des lignes nationales et non multinationales »[71],[72],[73] Près de 1,1 million[74] d'Allemands dont l'ascendance slave avait été vérifiée ne furent pas expulsés[75]. Service de recherche de l'Église allemande, Gesamterhebung zur Klärung des Schicksals der deutschen Bevölkerung in den Vertreibungsgebieten, (Compilation générale sur le destin des populations allemandes des zones d'expulsions), Munich, 1965, Le rapport fait état de 473 000 morts confirmées et de 1 906 000 disparus, Le rapport inclut uniquement les décès confirmés et provoqués par des actes de violence et exclut les pertes dues à la famine et aux maladies, « Die deutschen Vertriebenen in Zahlen » (Les Expulsés allemands en chiffres) , Teil 1, Bonn 1995, Tabelle 7, page 36. Operation »Hannibal« 1945: Rettungsaktion der Kriegsmarine - Kriegsschiffe gegen Panzer & Infanterie. Reinklicken und zudem Bücher-Highlights entdecken! The Battle of the Oder–Neisse is the German name for the initial (operational) phase of one of the last two strategic offensives conducted by the Red Army in the Campaign in Central Europe (1 January – 9 May 1945) during World War II. La ligne de front soviétique, avancée en direction de l'Oder, offre rapidement aux Allemands des possibilités d'attaque de flanc contre les Soviétiques, partant de Silésie, au Sud, et de Poméranie, au Nord[5]. This offensive failed and inflicted another round of heavy casualties on the division. Beaucoup d'entre eux subirent des représailles de la part des populations locales et des partisans qui avaient également souffert durant l'occupation et la guerre de résistance[48] et furent envoyés dans des camps de concentration[48] . Certains Allemands jugés indispensables à l'économie polonaise ne furent libérés qu'au début des années 1950[79]. Leurs anciennes possessions ne leur furent cependant pas rendues[88],[92]. Du fait du soutien de certains d'entre eux aux nazis et en particulier de leur engagement dans la 7e division SS de volontaires de montagne Prinz Eugen, tous les Allemands souffrirent de persécutions[48]. Texte original : The Three Governments, having considered the question in all its aspects, recognize that the transfer to Germany of German populations, or elements thereof, remaining in Poland, Czechoslovakia and Hungary, will have to be undertaken. … Environ 2 000 civils quittaient la ville chaque jour pour rejoindre la ville déjà bondée de Pillau. De nombreux membres de ces formations s'échappèrent malgré les risques qu'ils encouraient pour tenter de survivre. Article from historyimages.blogspot.com. Potsdam.. Ils furent alors relogés en Silésie ou en Pologne[88]. De plus, les Allemands ne furent pas autorisés à posséder de la monnaie polonaise autre que celle issue de leur salaire[77]. Cependant dans les territoires frontaliers du corridor de Dantzig, la proportion atteignait 20 % et la ville de Dantzig abritait 96 % d'Allemands. Par ailleurs, rapidement, de nombreux réfugiés quittèrent l'Allemagne de l'Est (sous contrôle soviétique) pour l'Allemagne de l'Ouest. Le reste de leurs possessions fut saisi par l'État. L'écrivain militaire Antony Beevor écrivit dans Berlin the Downfall[19] : « Martin Bormann, le Reichsleiter du parti nazi, dont les Gauleiters avaient pour la plupart stoppé l'évacuation des civils jusqu'à ce qu'il fût trop tard, ne mentionna jamais dans ses carnets ceux qui s'enfuirent paniqués des régions orientales. La majorité des Polonais n'ont reçu aucune indemnisation ni de l'Union soviétique ou de l'Allemagne pour les pertes subies pendant la Seconde Guerre mondiale. The German Army (German: Heer, German: (), lit. Depuis 1990, des événements historiques ont été examinés par l'Institut de la mémoire nationale. La ligne Oder-Neisse fut formellement acceptée par le traité de Moscou de 1990. En 1931, le nombre total d'Allemands en Slovénie était de 28 000. Environ 3 % de la population allemande d'avant-guerre (soit 20 000 personnes) avaient déjà été évacués. Infanteriedivision. Lorsque l'Armée rouge atteignit la mer Baltique à Elbing le 23 janvier, elle coupa la route terrestre entre la Prusse-Orientale et le reste de l'Allemagne[16]. Jason Pipes, citant Heinz Schon (pas de numéro de page) qui avançait le nombre de 9 343. 1 er mars 1943 au 22 avril 1945 Pays Reich allemand: Branche Wehrmacht: Type Division d'infanterie Rôle Infanterie Surnom Sachsen-Schwerter Guerres Seconde Guerre mondiale: La 94. Elle concernait les civils mais également les industries et le bétail[15]. März 1945) Aufstand georgischer Einheiten der Wehrmacht auf Texel (NL) Avant la Seconde Guerre mondiale, un grand nombre de transferts de populations furent le résultat de traités bilatéraux et avaient le soutien d'organismes internationaux comme la Société des Nations. Mai 1945 trat die bedingungslose Kapitulation der Wehrmacht in Kraft, der Krieg in Europa war damit beendet. Le 1er octobre 1933, Konrad Henlein créa une nouvelle organisation politique, le Front patriotique des Sudètes qui déclarait sa loyauté à l'État tchécoslovaque mais souhaitait une large décentralisation. Selon Rudolph Joseph Rummel, il s'agit de « démocide »[101], et certains vont jusqu'à parler de génocide[154]. Le front allemand s'est complètement effondré. Il ne cite pas ses sources mais recommande : A. V. Sellwood. Ce premier échec est acté par les Soviétiques le 19, Rokossovski décidant l'arrêt de ses unités sur la ligne Okonek-Chojnice-Gniew[11]. Nach dem Vormarsch bis vor Moskau folgte ein jahrelanger Stellungskampf an der mittleren Ostfront und 1945 die Einkesselung und Vernichtung in Ostpreußen.Das gerettete Generalkommando XX. Après mars 1945, les Allemands furent placés dans des prétendus « camps villages[96] ». Le nombre de civils allemands morts varie de 500 000[109],[110] à un maximum de 3,2 millions. Les chiffres les plus élevés incluent généralement tous les civils morts pendant la guerre. There will be no mixture of populations to cause endless trouble... A clean sweep will be made. Lorsque les autorités permirent aux populations d'évacuer, il n'y avait généralement plus de moyens de transport et les gens devaient fuir à pied. Il s'agit d'une association à but non lucratif créée pour représenter les intérêts des Allemands chassés de leur région d'origine à l'Est de l'Europe. Les expulsions d'autres nationalités eurent lieu en même temps que celles des Allemands. Après 1945, le gouvernement démocratique tchécoslovaque et le gouvernement communiste polonais ont poursuivi des politiques globalement similaires à l'égard de leurs minorités allemandes.
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